Dans le “magazine de la santé” de TV5 Michel Cymes et Marina Carrère d’Encausses du mardi 2 décembre 5mn sur sur le régime cétogène. (Début à 34:40, fin à 39:40) : “l’épilepsie ; le régime alimentaire comme traitement de fond”
Dans le “magazine de la santé” de TV5 Michel Cymes et Marina Carrère d’Encausses du mardi 2 décembre 5mn sur sur le régime cétogène. (Début à 34:40, fin à 39:40) : “l’épilepsie ; le régime alimentaire comme traitement de fond”
Lors des Rencontres Épilepsies Grand’Est ++, qui cette année ont concerné toutes les associations membres qui ont pu assister aux Journées Françaises de l’Épilepsie (JFE), Nathalie Griesbeck, députée européenne qui en 2011 a “porté” et fait signer à 524 députés européens la “déclaration” en faveur des personnes épileptiques, leur a rendu visite.
Rappelons que la déclaration en question impose à la Commission et aux 28 pays de l’Union
Nathalie Griesbeck a été reçue par Françoise Thomas-Vialettes, présidente et Pierre Lahalle-Gravier, Secrétaire Général de notre Fédération des Associations en faveur des Personnes handicaPées par des Épilepsies Sévères (Efappe). L’organisateur des jfe, le Pr Hervé Vespignani accompagnait la Députée européenne devenue Ambassadrice des épileptiques au Parlement de Strasbourg.
La loi habilitant le Gouvernement à adopter des mesures législatives pour la mise en accessibilité des établissements recevant du public, des transports publics, des bâtiments d’habitation et de la voirie pour les personnes handicapées en date du 10 juillet 2014, a été publiée au Journal officiel, le 11 juillet 2014.
Ainsi, afin de permettre l’accès des personnes à mobilité réduite dans les transports publics, les bâtiments d’habitation, les établissements recevant du public ou encore de la voirie, le Gouvernement « est autorisé à prendre par voie d’ordonnances toute mesure relevant du domaine de la loi », pour notamment :
– définir les conditions dans lesquelles peut être prorogé le délai fixé pour que les établissements recevant du public et les installations ouvertes au public soient rendus accessibles à tous et notamment aux personnes handicapées, et ce quel que soit le handicap. À cette fin, l’ordonnance précisera, entre autres, le contenu, les modalités et les délais de présentation des agendas d’accessibilité, les obligations du propriétaire ou de l’exploitant de l’installation, ou encore les sanctions administratives encourues en cas de non-respect des obligations ;
– déterminer les règles particulières applicables aux travaux modificatifs demandés ou effectués par les acquéreurs de maisons individuelles ou de logements situés dans des bâtiments d’habitation collectifs vendus en l’état futur d’achèvement ;
– prévoir l’obligation d’inclure dans les parties communes des nouveaux immeubles d’habitation tout ou partie des places de stationnement adaptées aux véhicules des personnes handicapées et définir les modalités de gestion des ces places ;
– déterminer les modalités de suivi, au moins biennal, et de l’évaluation de l’avancement de la mise en accessibilité de tous les établissements recevant du public par l’ensemble des parties prenantes au dossier de l’accessibilité ;
– adapter les obligations relatives à l’accessibilité des services de transport public de voyageurs prévues par le Code des transports ;
– fixer le seuil démographique en dessous duquel l’élaboration par une commune d’un plan de mise en accessibilité de la voirie et des aménagements des espaces publics est facultative.
Ces ordonnances devront être prises dans un délai de cinq mois à compter 11 juillet 2014. Pour chacune d’entre elles, un projet de loi de ratification sera déposé devant le Parlement dans un délai de cinq mois à compter de leur publication. De plus, à l’issue d’un délai de trois ans à compter de la publication des ordonnances, le Gouvernement devra présenter au Parlement un rapport d’évaluation concernant leur mise en œuvre, ainsi qu’un rapport annuel portant sur l’utilisation du produit des sanctions financières en vue d’améliorer l’accessibilité.
Nature Reviews. Neurology ; 10(5):283-92 ; Mai 2014
Nature Reviews.Neurology ; 10(5):293-9 ; Mai 2014
Nature Reviews.Neurology ; 10(5):300-4 ; Mai 2014
Voici mon résumé super-condensé: depuis 20 ans on découvre que bcp d’épilepsies ont une origine génétique. Une part importante de mutations de-novo, particulièrement dans les encéphalopathies épileptiques. Mieux comprendre cette origine génétique aide à mieux diagnostiquer, mieux soigner. Le Conseil Génétique dans les épilepsies nécessite une formation des praticiens. Une feuille de route est proposée vers des essais cliniques en thérapie génique
Comprendre l’étiologie de l’épilepsie est important à la fois pour la clinique et la recherche; Des recherches massives ont mis en évidence l’importance des mutations génétiques dans l’étiologie de l’épilepsie; Ces données couplées à des études génétiques cliniques suggèrent que beaucoup de formes d’épilepsies ont probablement une base génétique. L’importance des mutations de-novo est généralement sous-estimée, particulièrement dans les encéphalopathies épileptiques. Une autre surprise: l’évidence d’une contribution génétique dans les épilepsies focales, longtemps considérées comme acquises; Mieux comprendre les aspects génétiques des épilepsies a des retombées positives pour mieux soigner et donner un diagnostique génétique
Dans les 20 dernières années, le nombre de gènes reconnus avoir un rôle dans les épilepsies a beaucoup augmenté. La disponibilité d’un test génétique est utile pour le diagnostic, le pronostic, le choix des traitements et informer en vue d’une famille (conseil génétique) Pour certains patients l’importance d’identifier un gène en cause dans leur épilepsie a un intérêt personnel, même en l’absence de claire utilité clinique. Mais il faut former les praticiens sur quand et comment tester les patients, que la personne concernée et les membres de sa famille soient informés de choix possibles de recourir à un test et d’être accompagnés à l’annonce du résultat. Aspects positifs et négatifs de pouvoir connaitre l’origine génétique de son épilepsie pour l’individue, sa famille, la société….
L’épilepsie est un fardeau majeur pour la société, pas seulement parce que 25% des patients ne répondent pas correctement au traitement, parmi lesquels peu sont opérables; Plusieurs études se sont penchées sur la piste d’une thérapie génique. La traduction d’une découverte scientifique dans la clinique doit surmonter plusieurs challenges… évaluation de la sécurité long-terme des thérapies géniques… une feuille de route vers des essais cliniques est proposée
-- Françoise THOMAS-VIALETTES, présidente EFAPPE, vice-présidente CNE tél: 06 09 72 28 51 (les mercredis et WE) EFAPPE Fédération d’Associations de Personnes handicaPées par des Epilepsies sévères web: efappe.epilepsies.fr CNE Comité National pour l'Epilepsie
Tout le monde en parle et des organismes de tous poils essaye de faire des “choux gras” en s’en mêlant… Efappe, par son association EPI, et d’autres pensent que si on parle “Patient”, encore faut-il qu’ils aient, eux ou leur représentants et familles, la parole. Dans cet état d’esprit, un travail constructif a commencé avec les équipes de Grenoble dont les résultats seront disponibilisés ici et encore aux JFE 2014.
Voici un article à ce sujet
L’idée de thérapeutique d’éducation des patients (TPE) en France prend ses racines dans un désir de changer l’approche de soins de l’épilepsie. Développement des TPE a commencé à partir des difficultés que les patients et les professionnels de la santé sont confrontés en essayant de comprendre les objectifs des traitements d’épilepsie, souvent prescrits à la fin d’une très courte visite. Plus qu’un simple comptage des saisies, la prescription de médicaments ou de discuter de la chirurgie, d’autres facteurs individuels (de l’humeur, le comportement, l’estime de soi), spécifique à chaque patient doivent être takeninto compte. En effet, l’enseignement est plus efficace avec la participation de la personne le message est adressé à de sorte que le patient peut faire partie intégrante du processus … Lire “Cahier” numéro spécial (Français) | Résumé (anglais)
L’Europe progresse, la France régresse.
A l’occasion de la Journée Européenne de l’Epilepsie du 10 Février 2014, Le Comité National de l’Epilepsie (CNE) qui regroupe l’ensemble des acteurs impliqués dans la lutte contre l’épilepsie, s’insurge contre la situation dramatique de la prise en compte des épilepsies dans notre pays: 500000 personnes souffrent d’épilepsie en France, dont 150000 avec une forme grave. Une personne sur 26 risque de développer une épilepsie au cours de sa vie.
L’accès aux soins est inégalitaire et les inégalités s’aggravent : la prise en charge d’une épilepsie nécessite la réalisation d’un électro-encéphalogramme (EEG) interprété par un neurologue spécialisé. La disponibilité de l’EEG devient problématique, les spécialistes sont en nombre insuffisant et très inégalement répartis sur le territoire. Les délais de prise en charge deviennent insupportables. Lire la suite →
Les avancées que nous avons obtenues pour les handicaps rares générés ou connexes aux épilepsies sévères sont en passe d’être étendues à tous les cas de handicap qui induisent une grande difficulté à trouver des solutions d’hébergement et de soins. Les MDPH (MAISON DÉPARTEMENTALE DES PERSONNES HANDICAPÉES)devront pour les cas “sans solutions” aux Agences Régionales de la Santé (ARS), lesquelles disposeront de relais au niveau national national. Un travail ardu est en cours dans l’urgence (rendu en Janvier 2014) au Ministères (Direction Générale de la Cohésion Sociale (DGCS) ) et à la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA)
Le CHU DE GRENOBLE organise dans le cadre de la Formation Continue, la «JOURNÉE EUROPÉENNE DES ÉPILEPSIES ».
Cette journée se déroulera le 10 février 2014 de 9h30 à 16h30 dans nos locaux.
le 08/12/2013:
© faire-face.fr
Tous les allocataires de l’AAH peuvent désormais bénéficier des tarifs sociaux de l’électricité et du gaz. Un décret du 15 novembre, paru samedi 18 novembre au Journal officiel, en application de la loi du 15 avril 2013, ouvre en effet ce dispositif aux ménages dont le revenu fiscal annuel de référence par part est inférieur à 2 175 €. (lire article)
Une nouvelle rubrique est disponible sur le site internet de l’ANSM (agence nationale de sécurité du médicament) afin de faciliter la déclaration des effets indésirables suspectés d’être liés à l’utilisation d’un produit de santé. La navigation par type de produit (médicaments, dispositifs médicaux, …), puis par déclarant (professionnel de santé, patient, ….), permet d’accéder rapidement au formulaire adapté et aux informations pratiques pour le remplir. La transmission de cette déclaration à l’organisme chargé du recueil et de la gestion des signalements est également simplifiée. Il est désormais possible de déclarer en ligne les effets indésirables liés aux médicaments, et prochainement, les incidents liés aux dispositifs médicaux.
Cette nouvelle interface, plus lisible et plus simple, pour déclarer les effets indésirables constitue une première étape vers une véritable télédéclaration en ligne.
Il s’adresse aux enfants de moins de 20 ans parisiens et limitrophes. Vous trouverez ici les coordonnées pour les contacter.
Il s’adresse à des enfants avec épilepsie sévère et handicaps associés Lire la suite →
Vient d’etre publiée ce lundi 23 septembre 2013 la Stratégie Nationale de la Santé présentée par pas moins de 5 ministres autour de Marysol Touraine
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Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, et Geneviève Fioraso, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ont présenté aujourd’hui la stratégie nationale de santé (SNS) en présence de Dominique Bertinotti, ministre déléguée à la Famille, et de Michèle Delaunay, ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’Autonomie. Lire la suite →
Aujourd’hui, ils peuvent prendre leur retraite à taux plein entre 55 ans et 59 ans, à condition d’avoir cotisé un certain nombre de trimestres ( de 63 à 105, selon les générations et l’âge de départ), de présenter un taux d’incapacité permanente de 80% ou d’être reconnu travailleur handicapé. Des critères stricts qui limitent fortement le nombre de bénéficiaires. Ils étaient moins de 10 000, fin 2012 sur plus de 13 millions de retraités du secteur privé. En conséquence, et « Afin de ne pas léser certains assurés », stipule le document de Matignon, la réforme abaissera à 50% le taux d’incapacité requis pour bénéficier du départ anticipé. De plus, la loi prévoit d’accorder à ces personnes la pension à taux plein dès 62 ans contre 65 ans actuellement, sans condition de durée.
En outre, les aidants familiaux qui s’occupent d’une personnes lourdement handicapée bénéficieront d’un trimestre supplémentaire par période de trente mois de prise en charge « à temps complet ». Et ceci, dans la limite de huit trimestres. De même, ils pourront être affiliés gratuitement à l’assurance vieillesse du parent au foyer (AVPF) sans condition de ressource (1944 euros par mois en 2013)
Cette page récapitule “ce qu’il faut savoir” des actions pérennes de la CNSA.
Le contenu des Mémos est mis à jour régulièrement.
En voici la liste actualisée :
2- Les concours versés aux départements par la CNSA.
5- Le GEVA, guide d’évaluation des besoins de compensation des personnes handicapées.
6- Les actions de la CNSA pour une meilleure adéquation entre les besoins des personnes et les aides techniques.
7- Actions financées par la CNSA au titre du soutien aux études, à la recherche et aux actions innovantes.
9- Le plan d’aide à l’investissement des établissements et services médico-sociaux pour personnes âgées et personnes handicapées en 2013.
10- Les plans nationaux de santé publique auxquels contribue la CNSA.
13- Les MAIA : une troisième phase de déploiement.
14- L’apport de la CNSA dans la modernisation et la professionnalisation des services d’aide à domicile.
17- Les systèmes d’information pilotés par la CNSA.
18- Le système d’information partagé pour l’autonomie des personnes handicapées (SipaPH).
23- Le pilotage par la CNSA de la mise en oeuvre du schéma national d’organisation sociale et médico-sociale pour les handicaps rares 2009-2013.
Vous êtes épileptique, vous prenez plusieurs médicaments associés chaque jour pour traitement de vos crises,
vous bénéficiez donc de ce qu’on appelle un polythérapie. Savez vous que de ce fait, vous devez être reconnus en “ALD”, affection de Longue Durée, qui induit le remboursement à 100% de vos prescriptions et quelques autres compensations prises en charges (transport vers les visites de contrôle etc… ? Si personne ne vous a proposé de vous faire reconnaitre en ALD par votre caisse, saisissez votre Médecin traitant, votre Neurologue ou votre Association de Patients, ils vous conduiront à faire reconnaitre VOTRE DROIT.
voir l’extrait d’un récent rapport officiel Lire la suite →